Voilà : ma première contribution sur le forum !!!
Pour l'occasion, j'ai déterré le seul projet d'écriture que j'ai jamais terminé, et que j'ai écrits en 2 jours au lycée!
J'en suis assez fier, mais j'ai un peu honte d'en être fier!
sinon, je le mets dans "poème et essais" car ils ne semblent pas convenir à la section "longues pages", excusez moi si je me suis trompé.
Dernière chose avant le conte : je ne suis pas sûr de la moralité, mes amis m'avaient forcés à l'écrire, soit disant pour aller à fond dans la parodie...
Voilà, bonne lecture !!!
Jack et son bras droit
Jack était un homme normal : de race aryenne, cheveux courts un peu bouclés. Il avait le sens des règles et se déplaçaient toujours en costume 3 pièces. Il aimait son travail de chef d’entreprise et s’y adonnait, comme toute personne normale, 35h par semaine.
Et Jack avez un bras droit nommé John, normal lui aussi, avec une épaule, un coude, un avant-bras et une main, elle-même pourvue d’un pouce, d’un index, d’un majeur, d’un annulaire et d’un auriculaire. Mais ce bras droit avait une préoccupation : Il n’aimait aucun membre de son corps et en particulier son patron/cerveau qui avait un sens un peu trop aigu du capitalisme.
Un jour Jack regarda
Kill Bill de Quentin Tarantino à la télévision. C’est alors que John eu l’idée de se séparer de son corps. Il réfléchit 3 jours et 3 nuits et trouva la solution à son problème. Une nuit, pour ne pas réveiller le cerveau, il entreprit de charmer Wendy, la main gauche :
« -Pssst !!! Réveille toi, souffla-t-il »
Wendy commença à s’agiter puis répondit en chuchotant :
« -Quoi ?
-Qu’est-ce que tu penses de moi ? » Demanda-t-il.
Et toute la nuit les deux mains discutèrent, apprirent à se connaître, découvrirent leurs sentiments l’un pour l’autre… et après une longue série d’actes censurés, la main gauche déclara être prête à tout pour le bras droit . C’est ainsi que le lendemain (un dimanche), Jack, en coupant un rôti à l’aide d’un long couteau à la lame effilée, fut pris d’une drôle de sensation : Il ne contrôlaient plus sa main gauche !!! Celle-ci attrapa le manche du couteau et entama de découper le bras de Jack. Une douleur commença à emplir tout le corps du pauvre homme qui hurlaient à la mort, mais Wendy l’ignora, et, usant de dix-sept coups de couteau éclata l’épaule de son maître. C’est ainsi que pour la première fois de sa vie, John se retrouva libre…
Malheureusement pour lui, son répit ne dura point longtemps, car en entendant les cris de douleur aigue de Jack, les voisins avaient appelé les secours qui avaient recousu John à Jack.
« -surtout, n’oubliez pas que vos points de suture sont fragiles, dit le docteur, et ne remettez jamais votre bras sur la planche à découper en même temps que le rôti, vous pourriez vous couper !!! » (Jack n’avait évidemment pas révélé la véritable version des faits au docteur, ne voulant pas être pris pour un fou et jeté à l’asile.)
Mais là n’est pas la fin de notre histoire, car à peine Jack rentré à la maison, le bras droit commença à élaborer un nouveau plan pour se séparer de son corps. Il réfléchit 3 jours et 3 nuits et trouva la solution à son problème. Une nuit, il entreprit de charmer Laurel et Hardi, les jambes :
« -Pssst !!! Réveillez vous, souffla-t-il
-Quoi ? fit l’une
-Oui ? fit l’autre
-Qu’est-ce que vous pensez de moi ? » Demanda-t-il.
Et toute la nuit les trois membres discutèrent, apprirent à se connaître, découvrirent leurs sentiments les uns pour les autres… Et après un long ménage à trois, les deux jambes déclarèrent être prêtes à tout pour le bras droit. C’est ainsi que le lendemain, Jack, en se rendant aux falaises d’Etretat, fut pris d’une drôle de sensation : Il ne contrôlait plus ses jambes !!! Celles-ci l’emmenèrent dans le précipice. Alors Jack n’eût d’autre solution que se rattraper avec son bras droit. Les fragiles points de suture qui reliaient John à Jack lâchèrent alors un à un arrachant un peu de peau à chaque fois. Puis quand tous les points furent cassé, Jack tomba dans le vide… Sans le bras droit qui fut libre de nouveau…
Malheureusement pour lui, son répit ne dura pas longtemps, car en entendant les cris de douleur atroce de Jack, les mouettes avaient appelé les secours. Ceux-ci crurent que l’homme avait tenté de se suicider et, après avoir recousu l’homme à son bras, le placèrent en asile de fou.
Quand il se réveille Jack était camisolé, De ce fait, le bras droit ne pouvait plus bouger ; et cette fois John eût beau réfléchir 3 jours et 3 nuits il ne trouva plus de solution : il aurait beau charmer un membre du corps, celui-ci ne pourrait pas l’aider. Alors le bras droit commença à sombrer dans le désespoir et à se dépérir.
Un jour, peut-être 2 semaines ou peut-être 2 mois plus tard, vint la visite quotidienne du docteur. Celui-ci pour se rendre compte de l’état de santé de son patient du lui retirer sa camisole et lui administrer un calmant pour ne prendre aucun risque. Mais le bras droit était vif d’esprit, et il lui fallait plus qu’un calmant pour qu’il perde sa sobriété. Alors, comme il ne risquait plus les représailles du cerveau, il demanda :
« -Docteur, qu’est-ce que vous pensez de moi ? »
Et tout le temps de la visite, la main et le docteur discutèrent, apprirent à se connaître, découvrirent leur sentiments l’un pour l’autre… Et après une série d’acte que la décence m’interdit de coucher sur le papier, le docteur déclara être prêt à tout pour John. Alors il amputa définitivement Jack de John.
Jack survécu, manchot, mais fut libéré, car on savait à présent qu’il n’était pas fou, mais uniquement que son bras désirait être libre. Wendy, Laurel, Hardi et le docteur enterrèrent ensemble le bras droit qui ne pouvait survivre sans le reste de son corps, et qui mourut sans même avoir eût de femme bras et de petits enfants bras…
Moralité : Quelque bras droit extraordinaire que vous soyez, avec une volonté propre, (bras droit de la France par exemple), vous ne pouvez pas survivre sans votre corps. Ainsi, mangeurs de galettes, ne cherchez pas à vous séparer de votre Sainte- Mère patrie, majestueuse, grandiose, juste et libre, la FRANCE !!!